Impacts des nouveaux modes de travail sur les besoins immobiliers

Des locaux de travail oui mais lesquels et comment ? Avec le développement des activités numériques, l’émergence attendue du télétravail puisque la réforme du code du travail donne plus de flexibilité au travail à distance, et sur la base des analyses du CGET (Commissariat Général à l’Egalité des Territoires), il est temps d’étudier et d’anticiper les impacts sur les utilisations et les besoins immobiliers des collectivités et des utilisateurs.

En effet les bénéfices attendus pour les collectivités, les entreprises et les salariés, sont d’ordre financier, économique, environnemental et professionnel.

Pour les collectivités et les employeurs elles vont permettre : des économies immobilières par la réduction des locaux loués ou détenus, la réduction de l’absentéisme, une meilleure productivité liée aux gains sur les temps de transport et au stress des déplacements, la réduction de l’empreinte carbone, la fixation des actifs sur les territoires au bénéfice du commerce et service de proximité et d’un nouveau dynamise territorial en périphérie ou hors des grandes métropoles. Pour les salariés elles améliorent la qualité de vie (temps de trajets) et le pouvoir d’achat par les économies réalisées (coûts de trajets, garde d’enfants…). Ces bénéfices importants ne doivent pour autant pas masquer les adaptations dans l’organisation du travail pour éviter le sentiment d’isolement du salarié, le risque de ne jamais déconnecter, ou au contraire d’être distrait en travaillant chez soi. Mais les DRH sont « à la manœuvre » pour organiser ce mouvement inéluctable des nouveaux modes de travail au regard des bénéfices attendus. Et il existe des alternatives au travers du développement des « tiers lieux » qui gomment ces difficultés par une ambiance de travail et des équipements adaptés, des synergies ou collaborations possibles au sein des espaces ou en lien avec des acteurs économiques ou associatifs locaux.

D’un point de vue immobilier pour les collectivités et les utilisateurs, les objectifs visés par cette réflexion portent sur : la diminution à terme des loyers payés ou des charges d’emprunts, la diminution des travaux d’entretien des locaux, la diminution des charges d’exploitation liées à l’immobilier (énergies, fluides, nettoyage des locaux…), la diminution des assurances et de la fiscalité, la diminution des couts de gestion internes liés au parc immobilier…et bien sur la flexibilité liée à l’adaptation sur mesure des besoins immobiliers.

La gestion immobilière est un temps long, qui s’anticipe. Les contraintes budgétaires actuelles, les évolutions des modes de travail, l’importance du poste immobilier dans les investissements et les charges supportées par les collectivités et les utilisateurs, imposent aujourd’hui de « lever le nez » de la gestion quotidienne.

Il parait temps d’engager au-delà du sujet de ce jour, une réflexion sur ses besoins immobiliers actuels et futurs, sur le diagnostic de son parc immobilier détenu ou loué, de ses coûts actuels et futurs, de son adaptation aux besoins, et de son mode de gestion. ARCHYPEL fait de ces objectifs un enjeu majeur à vos côtés.

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